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Mon domaine de recherche a débuté par l'étude des déterminants biologiques de l'orientation sexuelle chez l'humain.
Curieux de mieux comprendre les voies neuronales impliquées dans le comportement sexuel, ma thèse visait à comprendre le rôle des neuro-oestrogènes dans l'organisation et le fonctionnement des circuits neuronaux soutenant le comportement social, en particulier le comportement sexuel.
Mon postdoctorat actuel vise à déterminer les marqueurs biologiques impliqués dans les comportements sociaux chez des espèces distinctes : cailles, souris, moutons et humains.

#Traduction et plasticité